Lorsque la pandémie de COVID-19 a frappé le monde entier, elle a engendré des bouleversements sans précédent dans la vie de millions de personnes. Dans un coin reculé d'un quartier urbain, le photographe Michel Addo a entrepris un projet photographique poignant intitulé "Lockdown Days" (Les jours du confinement). À travers son objectif, Michel Addo capture les répercussions de la pandémie dans son quartier, ainsi que la solitude qui a étreint l'humanité durant le mois de Mars 2020, alors que la terreur venait à peine de prendre racine. Du confinement strict à la fermeture des commerces et aux rues vides, son objectif a su capter l'atmosphère lourde et inquiétante qui régnait. À travers son travail, il dépeint avec habileté les paysages urbains autrefois animés qui se sont transformés en décors mélancoliques, abandonnés par les rires et les conversations animées. 

 

Mais au-delà de l'impact physique du virus, Michel Addo s'est concentré sur la solitude et l'isolement de la population. À travers ses photographies, il explore les moments vides et préoccupés des passants, les rues désertes et les espaces publics dépourvus de la vie qui les animait autrefois. Il nous invite à contempler ces images saisissantes, reflétant la fragilité de notre existence et le poids de la solitude qui peut peser sur nos épaules. "Lockdown Days" offre une perspective unique sur les conséquences sociales et psychologiques de la pandémie de COVID-19. Son travail nous pousse à réfléchir sur la fragilité de notre condition humaine et la nécessité de rester connectés les uns aux autres. ce projet nous offrent une fenêtre sur le passé, tout en nous incitant à nous projeter vers l'avenir avec un regard plus attentif et solidaire, même dans les moments les plus sombres.

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DROIXHE, Liège, Belgique

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